La séance du conseil municipal du lundi 27 mars, qui s’est déroulée à la mairie, a permis aux élus de statuer sur un ordre du jour plus étendu que d’habitude : il contenait, en effet, la délibération sur… La séance du conseil municipal du lundi 27 mars, qui s’est déroulée à la mairie, a permis aux élus de statuer sur un ordre du jour plus étendu que d’habitude : il contenait, en effet, la délibération sur les budgets de la commune, qui ont été présentés par la maire Nathalie Martial Etchegorry. Après les comptes, administratifs et de gestion, et l’affectation de leurs résultats, le budget primitif 2023 a été validé ; celui-ci est globalement équilibré à 2 960 592,78 €. En commentaire, Nathalie Martial Etchegorry a décrit le contexte actuel impacté par la hausse des charges due à l’inflation. L’entretien des bâtiments et équipements communaux a conduit à faire en sorte de maîtriser le volume de la section fonctionnement, tout en gardant le niveau de services aux usagers de l’année précédente, et d’autofinancer les investissements de la commune sans recourir à l’emprunt, tout en poursuivant les projets en cours. Selon la maire d’Urt, « la commune veut rester prudente sur les évolutions à venir ». Dans ce même schéma, si l’on tient compte de l’inflation, les taux – non pas les bases – d’imposition locaux augmenteront de 1 %. Par ailleurs, les élus ont validé la création de trois emplois non permanents d’adjoint d’animation, d’une durée hebdomadaire de 25 heures pour les vacances de printemps. Une nouveauté pour le personnel de la collectivité : l’avènement de tickets-restaurants avec une participation de la commune à hauteur de 50 % de leur prix, le reste restant à la charge de l’agent. Le montant des subventions aux associations a été approuvé. L’intention des élus, en cette période qui connaît la rareté des bénévoles, a été de leur assurer leur soutien. En fin de séance, ceux-ci ont eu à se prononcer sur la mise en Å“uvre du partage du produit communal de la taxe foncière sur les propriétés bâties des nouvelles zones d’activité économique communautaires, dans le cadre du pacte financier et fiscal de la Communauté d‘Agglomération Pays basque. Réponse unanime et spontanée du Conseil : c’est non.